En France, la loi indique que nous sommes tous présumés donneurs, c’est-à-dire donneurs d’organes et de tissus, sauf si nous avons exprimé de notre vivant notre refus d’être prélevé.
Il n’est donc pas nécessaire d’indiquer sa volonté d’être donneur.
Cependant, il est important d’échanger avec ses proches. Si vous n’êtes pas inscrit sur le registre national des refus, c’est en effet vers eux que les équipes médicales se tourneront au moment du décès pour s’assurer que vous n’aviez pas, de votre vivant, exprimé une opposition au prélevement écrite ou orale de ses organes et tissus.